En 1989, le faux charnier de Timisoara (Le Monde diplomatique, 21 décembre 2009)
La révolution roumaine et les « charniers de Timişoara » : retour sur un fiasco médiatique | Roumanophilie
Guerre en Ukraine – Boutcha: «Les images comptent rarement comme preuves» - Le Matin
Guerre en Bosnie: un charnier découvert
Pendant que se déchaînait la propagande sur Tian'anmen, les USA massacraient le Panama ! - INITIATIVE COMMUNISTE
Valérie Gorin: «Les images de Boutcha révèlent un incroyable mépris pour la vie» - Le Temps
En 1989, le faux charnier de Timisoara (Le Monde diplomatique, 21 décembre 2009)
Le vrai et le faux: de Timisoara Bucarest (1989)
Le vrai et le faux: de Timisoara Bucarest (1989)
22 décembre 1989 : le faux charnier de Timisoara
CAUSETTE – Timisoara, le charnier qui n'existait pas – Marianne Rigaux
Charnier de Timisoara : comment expliquer l'emballement médiatique ?
Cauchemars et miracles à Srebrenica | Making-of
22 décembre 1989 : Timisoara, le charnier qui n'existait pas
Le vrai et le faux: de Timisoara Bucarest (1989)
En 1989, le faux charnier de Timisoara (Le Monde diplomatique, 21 décembre 2009)
Charnier de Timisoara, un fiasco médiatique | Franceinfo INA - YouTube
Roumanie: Timisoara, symbole de la désinformation | AFP News - YouTube
22 décembre 1989 : Timisoara, le charnier qui n'existait pas
22 décembre 1989 : le faux charnier de Timisoara – Les infox de l'Histoire – Podcast – Podtail
Guerre en Ukraine. Pourquoi on ne peut pas comparer Boutcha aux faux charniers de Timisoara
Le vrai et le faux: de Timisoara Bucarest (1989)
Roumanie : La chute de Ceausescu a été détournée par l'impérialisme occidental pour éviter une révolution sociale - Matière et Révolution
Timisoara, l'histoire d'un dérapage médiatique
Roumanie : Il y a vingt ans, le faux charnier de Timisoara - Rouges de Thau
La foirfouille de l'Histoire - PressReader
Roumanie : il y a trente ans, la chute de Ceausescu, le 'génie des Carpates' | TV5MONDE - Informations
Pourquoi le massacre de Boutcha et l'affaire des charniers de Timisoara n'ont «rien à voir» - Le Parisien
